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Evalue tes risques nutritionnels !
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Tu désires savoir si tu risques de développer un de ces troubles ?
Le questionnaire te permettra de déterminer ton degré d'exposition.
Plus les phrases qui te ressemblent sont nombreuses, plus le risque est grand !
Entre 8 et 16 réponses positives, l'alimentation te pose déjà des problèmes. Une aide psychologique peut s'avérer utile.
Au-delà de 16, pourquoi ne pas consulter auprès d'un service spécialisé ?
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Il paraît que j'ai l'air mince, mais je suis grosse.
Je ne supporte pas de ne pas pouvoir faire du sport tous les jours.
Je m'inquiète à propos de mes menus.
Je suis déprimée quand je prends du poids (même quelques centaines de grammes).
Je préfère manger seule plutôt qu'en compagnie.
Je dispose d'une réserve cachée de nourriture.
Je ne supporte qu'on me dérange quand je mange.
Dès la première bouchée, je me sens grosse et j'ai l'impression d'avoir du ventre.
Il m'arrive d'engloutir de grandes quantités de nourriture sans pouvoir m'arrêter.
Il m'est arrivé de jeûner pour perdre du poids.
J'aime faire la cuisine pourles autres, mais je mange rarement ce que je prépare.
J'ai un rituel précis pour manger : je coupe ma nourriture en tout petits morceaux, ou j'ai mes propres couverts, ou alors je me nourris d'une façon bien particulière.
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Il ne m'arrive pas souvent d'être satisfaite de ce que je fais et de ce que je suis.
Je déprime facilement.
On m'adresse des remarques sur ma façon de m'alimenter et je n'aime pas ça.
Je m'aimerais mieux si j'étais plus mince.
Je suis très renseignée sur tout ce qui concerne la nutrition et l'alimentation.
J'ai peu d'amies et je ne me confie pas facilement à elles.
Je ne supporte pas que l'on me regarde manger.
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Dès que je mange, j'angoisse à l'idée de ne pas pouvoir m'arrêter
Je prends des laxatifs ou me force à vomir pour éviter de prendre du poids.
Quand on me demande ce que j'ai mangé, je préfère mentir plutôt que de donner des détails.
J'évite de parler de ma peur de grossir parce que personne ne me comprend !
Je ne supporte pas qu'on me pousse à manger.
Dès que je mange, j'éprouve un sentiment de culpabilité.
Je n'arrive pas à finir ce que j'ai dans mon assiette ; je le jette ou le donne à mon chien sans être vue.
J'ai déjà été obligé(e) de m'absenter des cours en raison de ma façon de m'alimenter.
Je me sens tout-à-fait capable de voler de la nourriture, des laxatifs ou des médicaments de régime.
Quand je me déshabille, ma première pensée est "la peur des bourrelets".
Je me dis qu'il faut que je sois plus mince que mes amies.
Je recrache souvent ma nourriture au lieu de l'avaler.
Je ne veux pas cotoyer les personnes qui jugent ma façon de manger.
Il m'est arrivé de penser que je préférerais mourir plutôt que d'être grosse.
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D'où peuvent bien provenir ces troubles ?
Rassurez-vous, les filles ! Nous ne deviendrons pas toutes anorexi-ques, boulimiques ou mangeuses invétérées.
Qu'est-ce qui fait qu'un jour tout bascule ?
1 - Le type de famille qui peut être impliquée :
Les familles de personnes souffrant de troubles alimentaires sont souvent de type hyper-protectrice avec un souci très prononcé pour la réussite (souvent critère numéro 1) sans tenir compte du stress que cela peut produire chez le jeune concerné. On lui demande chaque jour de se surpasser ! Leur exigence engendrant doutes et anxiété.
Ces familles n'hésitent d'ailleurs pas à critiquer même de façon un peu crue les défauts, les excès ou les manquements de leurs enfants.
Souvent, dans ces mêmes familles, les critères concernant la beauté physique de leurs enfants sont également présents.
Dans l'environnement familial des anorexiques, on trouve souvent une mère autoritaire qui gère la vie de sa fille et un père qui s'est retiré totalement ne s'impliquant plus dans la relation parent-enfant ; l'inverse peut aussi arriver : un père exigeant et obsédé par l'apparence esthétique de sa fille et une mère qui laisse faire... et ça fait de sacrés dégâts !!!
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2 - D'un certain profil psychologique :
Toutes celles qui surveillent leur ligne risquent-elles de développer des troubles du comportement alimentaire ? Eh bien, non ! Nous voilà donc rassurées.
Comment se reconnaître ou les reconnaître ?
Par exemple, celles qui ont des difficultés relationnelles en général, du genre plutôt exigentes avec elles-mêmes, ne se sentant jamais satisfaites de ce qu'elles font même lorsqu'elles réussissent. Face à l'alimentation, elles raisonnent en termes de "bon ou mauvais", de "gros ou mince".
Un médecin-spécialiste leur reconnaît 10 caractéristiques psychologiques :
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un manque de confiance en soi
un excès de perfectionnisme,
un besoin de tout maîtriser,
une perte de leur propre image,
un rejet du désir et de la séduction
des difficultés à s'exprimer
une tendance à dissimuler,
une méfiance vis-à-vis des autres
une peur de ne pas réussir,
et un attachement excessif à l'un des deux parents.
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3 - La culture et le culte de la minceur :
Les facteurs sociaux ont aussi leur part de responsabilité. La plupart des experts comme le Professeur George Hsu, Psychiatre à Boston (USA), la pression des régimes influe largement sur le déclenchement des troubles du comportement alimentaire.
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Submergés constamment par des messages de minceur associés directement à la réussite, la puissance et au succès, nous subissons quotidiennement l'intoxe du genre : pas de minceur, pas de salut, ni de bonheur !
D'un autre côté, notre société regorge de nourriture à laquelle il est difficile de résister. Beaucoup d'entre nous préfèrent grignoter plutôt que de passer à table. Or, ces grignotages constituent très vite des excès qu'il faut apprendre à contrôler. Aussi, pour maîtriser la situation, l'anorexie supprime tous les aliments ; la boulimique se fait vomir, utilise des laxatifs ou se dépense en sport à outrance pour brûler ses calories
.
Quant aux grignoteuses, elles oublient ce qu'elles avalent et prennent très vite des kilos tout en affirmant qu'elles ne mangent rien.
Mais toutes ont un point commun : tout a commencé avec un régime qui est allé trop loin...
Association "Je m'aime donc je vis" : 06 19 57 66 20
La note bleue : mail : info@lanotebleue.org Consultation avec des psychiatres
TEL : 01 34 9O 23 54
Ecoute spécialisée
TEL : O1 40 47 73 73
Témoignages
Retour sur Anorexie |
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Retour sur les dossiers d'Adosurf Vers rubrique sexualité
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