Tu te demandes souvent pourquoi il se met à sourire béatement dès que tu fais ça ou ça ?...
Des experts nous aident à mieux comprendre : sexologue, urologue, andrologue.

Attention fragile !
          Est-ce parce que son "moteur sexuel" est à l'extérieur de son corps que le mâle est 
    ainsi centré sur sa mécanique qu'il entretient jalousement tout en vivant dans la crainte de 
    la panne ? Ce qui est certain, c'est que cette sex-machine carbure essentiellement aux 
    émotions.

      L'homme serait prêt à n'importe quoi pour faire l'amour quitte à être amoureux...
En cause, son hypothalamus (petite glande située en bas du cerveau) plus gros que celle des filles d'où son plus grand besoin.

    Le phénomène de l'érection est un acte passif, contrairement à ce que l'on croit, au même titre que respirer ou digérer. C'est pourquoi il y a les érections nocturnes intervenant indépendemment de toute volonté. Ce qui est actif, volontaire, c'est le désir d'être excité.
Il peut ne pas arriver à avoir d'érection parce qu'il est trop ému. Comme quoi, il ne décide pas.

    L'éjaculation est un phénomène physique tandis que l'orgasme est une manifestation cérébrale d'intense émotion. C'est différent mais ça coïncide la plupart du temps. Au moment de l'éjaculation, le cerveau ne fonctionne plus car il est inondé par les endorphines. Le garçon se concentre sur son plaisir. L'orgasme serait une "récompense" à l'éjaculation inventée pour assurer la survie de l'espèce.

      La norme est deux (il peut n'y en avoir qu'un sans poser de problème de fertilité), situés à la base du pénis, ils servent à frabiquer non-stop les millions de spermatozoïdes et la testostérone.

  Tout commence dans la tête. Lorsque le garçon ressent du désir, souvent à l'occasion d'une stimulation visuelle, son cerveau envoie des messages érogènes qui entraînent une dilatation des artères péniennes : les corps caverneux se remplissent de sang, augmentent de volume, compriment les veines intracaverneuses, empêchant le sang de s'en aller. Ainsi gorgé de sang, le sexe gonfle et durcit. Après l'éjaculation, les corps caverneux se vident de leur sang et le sexe retrouve son calme.

  Toutes les études montrent qu'il n'en est rien. La taille du pénis n'influence ni la réussite de l'acte sexuel, ni l'intensité du plaisir de la partenaire. Pour la bonne raison que le vagin s'adapte à la taille du pénis, et que seul le premier tiers de cette cavité élastique est sensible. Même le fameux point G s'y trouve !

      "La longueur et la grosseur du pénis sont un vrai problème pour les hommes", constate le Dr Mimoun, sexologue. "L'identité masculine est construite sur sa virilité génitalisée. La moyenne de la verge au repos est de neuf centimètres pour un diamètre de trois ou quatre centimètres. Et, étant élastique, plus il s'en sert, plus elle grandit."

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