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Filles et garçons vivent-ils sur la même planète question sexe ?
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Le défi que représente le projet pourtant simple d'une relation harmonieuse et enrichissante peut relever du défi.
Ce défi, la majorité des garçons et des filles l'affrontent quotidiennement, tantôt avec bonheur, tantôt au prix d'échecs retentissants.
L'adolescence qui va de la puberté jusqu'à l'insertion professionnelle peut durer longtemps du fait de l'allongement des études.
Les particularités de cette période sont que :
1°) Tout ado doit s'individuer par rapport à ses parents, et notamment par rapport à sa mère, l'angoisse de cette séparation l'amenant à recourir à des modes de groupes, bandes, "gangs", passions amoureuses ou parfois l'alcool et la drogue.
2°) Il est confronté à ses transformations corporelles et ses pulsions sexuelles liées à la montée homonale entraînant une libido à son zénith.
L'éducation sexuelle peut déjà se traduire en offrant à l'enfant puis à l'adolescent une image féminine et masculine sans ambiguité, ainsi qu'une image positive du couple que forment ses parents. (Un jeune vivra d'autant mieux sa vie que ses parents vivront la leur.)
Leur différence :
Une des composante du désir est la différence entre la masculinité de l'homme et la féminité de la femme. Au plus un garçon investit sa masculinité et une fille sa féminité, au plus ils auront de facilités à s'érotiser l'un l'autre. Or, le modèle qui est encouragé actuellement est le modèle androgyne. Les filles ont acquis l'agressivité jadis réservée aux garçons qui eux-mêmes ne sont pas exempts du narcissisme corporel des filles encouragé par les spots publicitaires.
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Non, filles et garçons ne sont pas tout-à-fait sur le même plan sexuellement parlant.
Totalement libérée, la femme en recherche de plaisir, développe sa sexualité. Mais on ne peut pas demander à la femme de fonctionner de la même façon que l'homme.
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A quoi reconnaît-on l'orgasme ?
L'orgasme, par une accumulation de plaisir, est la jouissance arrivée à son paroxysme.
Il s'agit d'un instant de pur délice (quelques secondes tout au plus).
Que se passe-t-il à ce moment-là ?
La contraction à un rythme effréné des muscles de la région génitale et anale laissant
ensuite une sensation de bien-être, de s'être donnée à fond.
Les seins, le clitoris, les mamelons et les aréoles augmentent de volume. Les
palpitations cardiaques peuvent aller jusqu'à 150 pulsions/minute. La respiration
s'accélère.
La femme connaît deux types d'orgasmes : clitoridien ou vaginal
Pour décoller, pas de problème puisque dotée d'un clitoris, ce "petit bouton" perceptible
au sommet des lèvres.
L'orgasme clitorien :
A l'excitation, ce minuscule appendice très sensible aux caresses et autres
stimulations (langue, frottement du sexe de l'home, etc.) se gorge de sang comme un
pénis et se gonfle. Il entre littéralement en érection.
L'orgasme qui s'ensuit est court et saccadé, comparable à celui que connaissent les
hommes.
L'orgasme vaginal :
Il est l'aboutissement d'un coït ; il laisse l'impression d'un plaisir plus long.
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Avant tout, se connaître soi-même en ayant une bonne connaissance de son corps.
Rien n'est plus vrai que le vieil adage "Connais-toi toi-même" en matière d'orgasme !
Se donner du plaisir toute seule, se caresser, se chercher, se trouver, se faire frémir pour montrer par la suite le chemin à un homme avide de nous combler...
Sinon inutile de se plaindre !
Vers rubrique sur le plaisir
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