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INTERRUPTION VOLONTAIRE DE GROSSESSE |
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Il est important de savoir que de nos jours encore, pas mal de médecins essayent de convaincre les jeunes filles de ne pas avorter. Il faut savoir que tout médecin, refusant pour raison d'éthique la pratique de l'IVG, a obligation d'adresser toute personne désirant avorter vers un centre qui la pratique.
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Comme vu plus haut, il faut l'utiliser dans les 3 jours (grand maxi) qui suivent le rapport mal protégé (capote qui glisse, craque, oubli de pilule) ou pas protégé du tout, quel que soit le moment où on en est dans son cycle (est-il utile de le répéter ?).
Où se la procurer ?
Elle est disponible GRATUITEMENT dans les centres de planification familiale et auprès des infirmières de lycées. On peut toujours la demander aux généralistes, gynécos et aux urgences des hôpitaux (pour 25 F seulement, et c'est remboursé).
Comment ça marche ?
Cette pilule inhibe l'ovulation et empêcherait l'oeuf de s'implanter. Comme dit plus haut, plus elle est prise tôt après le rapport à risque, plus elle est efficace. On prend deux fois 1 ou 2 comprimés à 12 heures d'intervalle.
Après, il est absolument nécessaire de protéger ses rapports sexuels par une méthode locale comme un préservatif par exemple jusqu'à l'arrivée des prochaines règles.
Comme il s'agit d'une contraception d'urgence, ne pas l'utiliser comme recours systématique !!!
TAUX D'ECHEC : 1 fois sur 4. Cela veut dire que s'il y a un retard dans les règles, direction immédiate test de grossesse.
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(Ancien RU 486)
QUAND ?
Avant la fin de la 5ème semaine de grossesse, soit 7 semaines depuis le 1er jour des dernières règles.
Où ?
Au service d'orthogénie d'un hôpital.
Le déroulement
en deux étapes :
Pour commencer on prend 3 comprimés de Mifégyne 200mg (des anti-progestérones). Ceux-ci vont arrêter la grossesse en court-circuitant les sécrétions de progestérone (qui permet à l'oeuf de se développer et permet au col de rester fermé). C'est indolore et on rentre tranquillement chez soi.
Une fois les comprimés avalés, plus possible de faire machine arrière :
c'est irrémédiable.
2 jours plus tard, retour au centre pour prendre des comprimés de prostaglandine (par voie orale ou vaginale en cas de nausées). Ils doivent provoquer des contractions utérines pour permettre l'expulsion de l'oeuf par le vagin dans un bassin. Les infirmières doivent bien vérifier que l'expulsion a eu lieu.
Lorsque tout se déroule normalement, le temps prévu à l'hôpital est de 3
heures en moyenne en tout. Le gynéco fait un dernier examen et on repart
avec sa tablette de pilules contraceptives.
Certaines ressentent davantage de douleurs que d'autres. Nous ne
sommes pas égaux face à la douleur. Cela se traduit par des malaises,
nausées, diarrhées. Il ne faut pas hésiter à demander un anti-douleur.
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Retour sur les dossiers d'Adosurf Vers rubrique sexualité
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Avant toute chose, s'assurer que l'on va pratiquer une anesthésie générale ou locale. On déplore qu'il existe encore des interventions "à vif" pour que "ça vous passe l'envie de recommencer" (dixit certains médecins)... !
QUAND ?
Entre la 5ème et jusqu'à la 12ème semaine de grossesse (depuis juillet 2000) : date limite légale de l'IVG de la plupart des pays européens. Soit 14 semaines d'aménorrhée.
Où ?
A l'hôpital, au bloc opératoire. La loi exige que chaque structure hospitalière dispose d'un centre IVG ! Il faut savoir que cela n'est pas le cas.
Comment ça se passe ?
2 jours avant l'intervention, on prend un comprimé afin de permettre la dilatation du col de l'utérus. Le jour-même de l'intervention, on subit une petite anesthésie générale ou locale (une piqûre autour de l'orifice de l'utérus : plutôt impressionnant). Le col est dilaté avec des sondes (tiges en métal) de plus en plus grandes, afin de passer la canule (entre 6 à 10 mm) dans l'utérus pour aspirer l'embryon.
Durée de l'acte : maximum 5 bonnes minutes.
Durée de l'hospitalisation : quelques heures.
Et les suites ?
En raison des aspirations répétées, une stérilité passagère peut intervenir en raison d'un accolement des muqueuses, voire de futures fausses couches ou d'accouchements prématurés.
Il faut savoir que l'opération peut provoquer une inflammation surtout s'il y a infection, en obturant les trompes entraînant un risque de stérilité (entre 0,5 et 3 %)
Quel en est le coût ?
140 euros environ (902,16 F) (ticket modérateur 180,43 F).
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Dans certains cas extrêmes, on doit envisager ce type d'avortement.
Quand ?
Le seul à pouvoir être pratiqué en dehors des délais légaux et uniquement lorsque le médecin considère nécessaire d'avorter par exemple en cas de risques graves pour la mère ou l'enfant à naître (maladie, malformation, trisomie). La décision est prise alors avec les deux parents.
Comment ça se passe ?
Il faut déclencher un accouchement précoce. On prescrit à la femme du RU. Le foetus ne survit pas en raison des contractions qu'il ne peut supporter.
La femme doit être entourée particulièrement par une équipe, avant, pendant et après.
En dehors de ce cas particulier, pour avorter plus tardivement, on peut se rendre en Angleterre (délai 24 semaines d'aménorrhées) ou en Espagne (22 semaines).
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Numéros utiles :
Info contraception : 0 825 08 90
Sida info service : 0 800 840 800
Fil santé jeunes : 0 800 235 236
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Les hôpitaux voient assez fréquemment arriver aux urgences des jeunes filles souffrant de maux de ventre atroces ou d'avoir fait énormément pipi : elles ignorent en fait qu'elles sont sur le point d'accoucher. Elles sont au 7ème ou 8ème mois de grossesse et ont tout fait pour se le cacher. Elles rentrent au maximum leur ventre, continuent à s'habiller en taille 36. Elles n'ont pris que 2 ou 3 kgs. Cela n'empêche que le bébé à la naissance soit dodu. Le bébé s'est développé là où il pouvait, c'est-à-dire jusque dans le dos !
Dès que les médecins les informent de leur grossesse et que les parents sont informés, n'ayant plus de résistance de la paroi abdominale, les filles prennent immédiatement des rondeurs en moins d'une semaine. Elles se détendent psychologiquement et physiquement ; le bébé prend alors enfin sa place.
Les médecins et personnel hospitalier ont constaté qu'en général, ces jeunes filles s'occupent très bien de leur bébé et qu'il n'y a pas d'abandon.
Ce déni de grossesse peut être interprété comme une forme de protection contre une éventuelle IVG qui pourrait être imposée par les parents ?...
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