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Tous disent que ça a tout changé dans leur vie
Retrouver le souffle, c'est aussi retrouver la liberté !
Tous les anciens fumeurs le disent.
Après un arrêt de quelques semaines
amélioration de leur souffle et un véritable tonus physique retrouvé.
Du coup la reprise d'une activité sportive devient possible
C'est dur mais ça vaut peut-être la peine d'arrêter.
Débarrassés de la cigarette, la plupart sont dégoûtés par l'odeur du tabac froid que dégagent les vêtements des fumeurs, de leurs cendriers, leur haleine aussi....
Par contre, tous s'émerveillent de retrouver le goût et l'odorat.
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Mais la première et meilleure des raisons est d'avoir mis fin à une terrible dépendance.
Les industriels du tabac ont admis mettre dans leurs produits des ingrédients qui induisent une dépendance. En rendant les fumeurs accros, ils s'assurent de vendre. Alors, pourquoi se laisser manipuler par des industriels qui gagnent des sommes folles sur notre santé et notre liberté ???..
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(en dernière info)
Tabac : un trafic fumant
Certains industriels du tabac s'acoquinent-ils avec de vulgaires mafiosi ? Les enquêteurs de l'Office de lutte antifraude de l'Union européenne en sont convaincus. Forte de leur rapport, la Commission européenne a décidé de porter plainte, devant un Tribunal américain, contre Philip Morris et RJ Reynolds : elle les soupçonne d'implication dans de juteux trafics de contrebande. "Que des conteneurs entiers de cigarettes disparaissent de grands ports comme Anvers, nous le savons depuis des années, confirme Luk Joossens, du Crioc (Centre de recherche et d'information des organisations de consommateurs). Mais cette enquête apporte des indices concordants sur le rôle
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actif joué par les fabricants", jubile-t-il. Selon certaines estimations, le tiers des cigarettes importées s'évanouiraient dans la nature avant d'être vendues sans droits de douanes et de TVA. Soit une perte financière pour l'Europe d'environ 40 milliards de francs par an en droits de douane.
Mais quel serait l'intérêt des industriels dans ce trafic ? Encourager la consommation de cigarettes en les diffusant à bas prix...L'accoutumance à la cigarette fait le reste. (Source P.G. Le Vif Express)
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Le cancer du poumon
La relation entre cancer du poumon et tabac ne fait aucun doute. Une étude récemment publiée par l'Institut scientifique de Santé Publique - Louis Pasteur et par l'Administration belge Flamande des Soins de Santé, portant sur la période 1992-1994, signale qu'au cours de cette période et rien qu'en Flandre, 10 000 personnes sont décédées prématurément des suites du tabagisme, ce qui correspond à 18 % de l'ensemble des décès survenus en Région Flamande.
Une autre discussion relativement récente porte sur le tabagisme passif. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, environ 10 % des cas de cancer pulmonaire survenant chez des non-fumeurs seraient dus au tabagisme passif. D'autres études signalent que les femmes qui vivent avec un partenaire fumeur augmentent de 30 % leur risque de développer un cancer du poumon.
Les conséquences néfastes du tabac ne sont donc pas seulement une question de choix personnel ; même ceux qui ne fument pas peuvent être touchés. C'est la raison pour laquelle s'élèvent partout des voix réclamant l'application stricte de l'interdiction de fumer dans les bâtiments publics. Dans ce même contexte, trois fédérations Horeca de Belgique (Flandres, Bruxelles, Wallonie) ont récemment mis sur pied un service d'ombudsman auquel les consommateurs peuvent adresser leurs plaintes concernant la réglementation antitabac dans les brasseries-restaurants du pays.
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Vers rubrique sur le tabac |
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2 - Comment réussir ?
Plusieurs méthodes sont disponibles sur le marché, mais offrent-elles toutes les mêmes taux de réussite ? Non, c'est la conclusion qui ressort de l'examen comparatif de l'efficacité des différents produits pharmacologiques de sevrage.
Selon des critères bien définis (abstinence continue de 6 mois à 1 an), la palme semble revenir aux substituts nicotiniques : 13 à 24 % de taux de succès, contre 6,5 % à 18 % pour le traitement d'un antidépresseur.
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grâce aux antidépresseurs
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grâce aux substituts nicotiniques
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Ces substituts nicotiniques doubleraient les chances de succès quelle que soit la forme choisie (patch, chewing-gum, microtabs, inhalateur, etc.) Mais il ressort également de ces études, qu'un fumeur n'est pas l'autre et que le choix du type de substitut doit se faire en tenant compte de la personnalité du fumeur.
Si la substitution nicotinique se positionne actuellement comme le traitement à essayer en premier lieu, l'avenir nous dira au travers des résultats des nombreuses études scientifiques en cours, quelles sont les meilleures combinaisons possibles pour un sevrage réussi et durable.
Références :
- Jorenby D E et al. Paru dans New England Journal of Medicine, mars 1999, vol. 340, 686-691.
- Hurt R D et al. Paru dans New England Journal of Medicine, 1997, n° 17, 1195-1202.
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3 - Pour les plus accros : les armes anti-tabac
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Les pastilles sublinguales : en fondant lentement sous la langue, ces petits comprimés diffusent de la nicotine qui réduit la sensation de manque. Ces pastilles aident les fumeurs qui ont besoin d'un approt ponctuel de nicotine aux moments les plus difficiles de la journée (après un repas, un café...).
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Les patchs : adaptés en fonction du degré de dépendance, ils assurent une diffusion constante de nicotine dans le sang.
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Les gommes à mâcher : à chaque mastication, la nicotine libérée est absorbée par la muqueuse de la bouche, supprimant ainsi le besoin de fumer.
L'inhalateur : ce petit cylindre diffuse des goutelettes de nicotine à aspirer est destiné aux fumeurs dont la dépendance gestuelle est importance.
Le spray nasal : il agit comme les gommes à mâcher, libérant un pic de nicotine au moment de la demande.
Un antidépresseur : prescrite à l'origine comme antidépresseur, la molécule, appelée Bupropion, a révélé que les malades sous traitement avaient tendance à stopper la cigarette. Cette molécule agit dans le cerveau sur la même cible que la nicotine.
Les thérapies comportementales et cognitives : leur objectif est d'identifier avec un thérapeute les situations qui déclenchent l'envie de fumer (téléphone, travail, stress...) et d'apprendre à y réagir au mieux.
Les méthodes douces pour aider à gérer le stress : passiflore, aubépine, ballote, en comprimés en pharmacie (Euphytose) et l'acupuncture pour calmer l'anxiété + un soutien psychologique pour comprendre le mécanisme du geste du fumeur.
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Chacun a réussi à sa façon !
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