Les garçons ont moins de zônes érogènes que les filles :

      La zône érogène de l'homme ne se situe pas seulement au niveau de son sexe et les quelques centimètres autour. Le massage sensoriel et psychosen-soriel, technique appliquée par des techniciens diplômés, a permis de mettre en évidence les sensations éprouvées par les mecs. Pour paraître plus fort, l'homme se mettait autrefois une cuirasse et s'empêchait même à avoir du plaisir dans la tendresse et les caresses. Or, tout son corps est érogène, pour autant qu'on sache éveiller sa sensibilité.
      Certains hommes ont une zône très érogène au niveau des mamelons au même titre que la femme, zône que certaines oublient de titiller. L'autre zône érogène, la région anale. Aidons nos mecs à étudier toute leur sensualité !

L'homme va trop vite :

    Cause de grandes frustrations chez la femme, cause de grandes déceptions chez les filles car elles se font une fausse idée de l'amour physique. Certaines en arrivent à ne pas faire plus de cas de l'acte amoureux qu'allumer une clope... en raison d'un plaisir inexistant.
    Les mecs vont malheureusement souvent trop vite. Quand le désir se fait trop fort, trop pressant, cela peut arriver car il est difficile pour un garçon de retenir son orgasme. Mais lorsque plusieurs rapports sont possibles, des préliminaires érotiques permettront de faire monter le désir chez la fille et la préparer à un acte amoureux de qualité. La fougue du désir amoureux ne doit pas laisser penser aux filles que l'acte sexuel est une course contre la montre. Inutile de se jeter sur les seins de la demoiselle pour s'exciter comme un malade et bâcler son affaire.
    La maladresse et l'ignorance des mecs peut amener des filles à croire qu'elles sont frigides et faire baisser leur désir.
      Les filles n'ont pas tellement besoin d'une pénétration, elles veulent avant tout un climat préparatoire, des préliminaires en douceur !
    Les oiseaux se font bien une cour merveilleuse. Pourquoi pas nous ?

Les rapports sexuels servent prioritairement au plaisir à 99,7 % :

    Les rapports sexuels ne servent pas uniquement à enfanter. 99,7 % des rapports sexuels  sont orientés vers le plaisir de la rencontre à deux contre 0,3 % qui ont pour but la procréation.
    Dans tous les cours d'éducation sexuelle, on parle de reproduction, et de plus en plus de nos jours on y ajoute la notion de plaisir, du dialogue gestuel, sensoriel, érotique sans oublier tout le chapitre des préventions d'usage.
    Dans sa partie sexualité, @dosurf  a abordé les questions de contraception, pilule du lendemain, IVG.

Le fantasme contribue à l'épanouissement sexuel :

    Le fantasme n'est pas réservé qu'à la sphère sexuelle. Garçons et filles ne font pas travailler leur imagination de la même façon. Il est excellent pour un couple amoureux de parler de ses rêves interdits.

L'impuissance est le trouble le plus fréquent chez les hommes :

    C'est l'éjaculation prématurée, le trouble le plus fréquent.
Qu'entend-on par impuissance ? - Un disfonctionnement érectile (difficulté à bander).

      Elle ne touche pas uniquement les hommes avançant en âge et les papys. Cela peut survenir chez un  jeune pour diverses raisons : tabagisme, alcoolisme, usage de drogues, ou en raison de certaines maladie comme le diabète.
Un problème psychologique peut entraîner également l'impossibilité pour un garçon d'obtenir une érection (quel que soit son désir pour sa partenaire).

On peut rencontrer des impossibilités de consommation des rapports sexuels, des impossibilités coïtales.

Elles peuvent être mixtes :
      -    vaginisme chez la femme (impossibilité totale de pénétration)
      -    et quand l'homme a peur de la femme...
  Il faut rechercher alors si la fille n'a pas subi de violences (viol, éducation épouvantable, attitude castratrice de la mère...)

Les nanas connaissent bien leur corps :

    "La pathologie la plus fréquente chez la femme, c'est cette ignorance. Celles qui connaissent bien leur corps sont encore trop rares", déclare le Dr P., gynéco.
"Aborder le sujet "clitoris" avec une patiente est déjà délicat. Il persiste encore des tabous dans certaines cultures et éducations mais les filles devraient pour raison d'hygiène (comme les garçons leur pénis) décaloter une fois par jour leur clitoris. Certains médecins n'osent encore pas en parler à leurs patientes mais c'est important."

La distance et le manque de présence atténuent le désir

    Bien au contraire ! L'attente, la distance, le manque sont des composantes du désir qui permettent de rêver l'autre. On désire souvent la personne qu'on a pas, qui nous manque ou celle que l'on rêve.
Faire durer le désir revient donc à rester "rêvable" et désirable pour l'autre.
Or la partie "rêvable" et désirable de l'autre, n'est pas la partie concrète de l'autre (celle dont on joue et dont on se lasse aussi), mais plutôt sa partie cachée.
Alors il est bon de se laisser désirer !!!