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La timidité nous donne un capital sympathie, mais oui... Annonçons plutôt d'entrée de jeu la couleur à notre interlocuteur par une phrase simple, par exemple, que nous rougissons vite.
Nous ne sommes pas le centre du monde, et ce dernier ne nous est pas forcément hostile. Sollicitons donc l'avis de personnes de confiance, au lieu de procéder à une systématique autocritique ravageuse. Le pire juge est soi-même.
Parce que nous visons la performance olympique (par exemple, vouloir d'emblée prendre la parole en public), nous demeurons souvent sur la grille de départ. Visons des objectifs plus accessibles - notamment, commencer par une conversation à deux, entre ami(e)s - mais attention surtout, progressifs !
Ne nous laissons pas intimider par un uniforme. Songeons que la tenue vestimentaire nous impressionne plus que la personne qui la revêt.
Les signes extérieurs de richesse entraînent l'apparition d'un sentiment d'infériorité ou d'un désir de tout posséder. Jugeons donc de la valeur des gens d'après ce qu'ils sont et non d'après ce qu'ils ont.
Etre pris au dépourvu par une interrogation inattendue est intimidant. Afin d'éviter ce désagrément, préparons tous nos sujets de travail en accumulant un maximum d'infos, pour pouvoir répondre à presque toutes les éventualités de la discussion.
Le fait de consigner ses peurs permet souvent de les exorciser. Notons par avance les différentes étapes d'un rendez-vous galant, par exemple : le premier appel téléphonique, l'organisation de la première sortie, les premiers sujets de conversation... et couchons ensuite par écrit le succès de la relation.
Les mordus d'internet peuvent naviguer en sélectionnant des sites dits de convivialité (comme @dosurf), et intervenir dans des groupes de discussion (forum et chat), pour dialoguer par écrans interposés. Attention toutefois aux sites roses... !
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