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Nous n'avons pas tous et toutes les mêmes zônes érogènes :
Des filles peuvent frémir quand on effleure l'arrière du genou, alors que d'autres seront plus sensibles dans le bas du dos, ou encore sur le décolleté.
Des garçons aiment des baisers sur le torse, d'autres se surprennent à aimer le passage de longs cheveux sur les fesses ou le creux des reins.
Puis quand seules les mains ne suffisent plus à faire réagir ses zônes supposées érogènes, voire électrogènes.... on peut user de nos bouches, nos sexes ou tout autre objet sensuel comme une petite culotte en dentelle pour varier les plaisirs et dévier des prévisibles cajoleries.
Tu dis ne pas avoir de zônes érogènes ? Impossible !
Là encore, pas de secret : la règle du "connais-toi toi-même" déjà amplement expliqué dans la rubrique "Le plaisir" d'@dosurf l'orgasme.
Libre à toi de le/la guider dans la quête au plaisir : d'orienter, de ralentir sa main, sa bouche qui effleure une zone particulièrement réactive... L'audace chez la fille est payante, le garçon ainsi tout engaillardi, sera prêt à la rendre folle de plaisir,
la comblant alors de tendres caresses, de doux baisers sur chaque parcelle de son corps la rendant encore plus irrésistible, transformée en celle qu'il n'a jamais osé fantasmer !!!
Les dangers de la simulation :
En donnant l'exemple, la fille montre combien la recherche de nos zones érogènes est excitante pour ensuite l'inviter à en faire autant et entrer dans le jeu de la réciprocité.
Il est recommandé d'y aller prudemment, inutile de se lancer dans un scénario intégral où l'on donne l'impression d'être la star d'un film X. Il suffit de se sentir bien et en confiance acceptant les approches de l'autre. Les débuts ne sont pas toujours aussi prometteurs que prévus, il ne faut donc pas se décourager.
Eviter simplement de se couvrir de ridicule ou de sombrer dans l'ennui pendant que son partenaire cherche comme un beau diable à nous émouvoir.
Il n'y a rien de pire que d'attendre la montée du désir !
Il n'y a aucune honte à renoncer lorsque l'un ou l'autre n'est pas prêt pour de longues expérimentations ; il est préférable de faire plus simple pour mieux tenter la fois prochaine.
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