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Alors que certains sont si fiers d'être
en tant de points admirables,
d'autres nourrissent handicaps
et complexes physiques
dans la souffrance et la résignation.
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Complexes physiques vrais ou imaginaires
Qu'est-ce qu'elle a ma G... , et ma taille ?
Trop petits...? Trop gros...? Tes seins ?
Grand, musclé mais l'acné te défigure ?
Des rondeurs ou trop gros ? C'est trop la honte ?
Oreilles décollées, en feuille de chou ou de Mickey ?
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Pas tous égaux :
maladies génétiques, sexe, malformations, couleur des yeux ou des cheveux, la nature décide bien malgré nous de notre anatomie.
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"A 15 ans, je ne décollais de mon mètre 58 et mes seins devenaient mon cauchemar (85 C). Je me tenais voûtée tellement j'endurais les pires vannes surtout de la part des garçons (qui me surnommaient "airbag"). Comment alors ne pas complexer ? Fini la jolie petite fille faisant l'admiration de ses parents. Je déchantais de jour en jour face à toutes ces critiques extérieures. Côté fringues : sac à patates pour camouffler tout ça et comme mes meilleures copines mesuraient 1m 70, je me sentais si minuscule que j'avais l'impression de disparaître dans la bande, de ne pas exister. J'ai dû consulter car mes problèmes empiraient. J'ai eu recours à la chirurgie esthétique pour mes seins. Résultat : fini les réflexions des mecs ! Pour ma taille, je fais une thérapie pour accepter ma taille. J'ai déjà gagné en confiance en moi et retrouvé pas mal le moral."
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"L'origine du complexe de Flo :
une famille qui l'avait certainement idollâtrée toute sa petite enfance.
Résultat :
un narcissisme hypertrophié (trop développé) en entretenant une image d'elle-même idéalisée et survalorisée - qui l'a conduite, ado, à une
"immense déception". Les humiliations étaient pour elle d'autant plus mal
vécues et ressenties. En plus, le regard de ses parents s'étant normalisé, Flo l'a vécu comme un
rejet ; ce qui a accru sa souffrance."
Quel est le risque pour l'avenir ?
Que Flo fasse une fixation sur les filles mesurant 1 m 70 et +, et que son
complexe de taille devienne pathologique !"...
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Retour sur les dossiers d'Adosurf Vers rubrique sexualité
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"Help !"
"Salut ! Moi, c'est Vincent et voici mon problème : je me sens pas beau, mais pas beau du tout. Je n'ai aucune confiance en moi et surtout devant les filles. J'espère que vous pourrez m'aider !"
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Quand le complexe vire à la phobie : "Je n'aime pas ma tête ni le reste !..."
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- Un vrai cauchemar pour beaucoup surtout à la période ado
: Que celui qui n'a jamais grimacé face à son miroir, lève le doigt !
Une obsession, banale et courante à l'adolescence, qui s'atténue en général à l'âge adulte.
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"Quand un complexe devient obsédant, on parle de dysmorphophobie"
explique le Dr Georges Alcaraz, psychiatre à l'hôpital Necker (Paris) et membre de l'Association française des thérapies comportementales et cognitives.
Un problème en augmentation depuis une dizaine d'années aussi chez les hommes, de plus en plus préoccupés par leur aspect physique.
Comment cela se traduit-il dans le vécu ?
Persuadés...
d'avoir un sexe trop petit, il se croit incapable d'avoir une une vie sexuelle ;
d'avoir des oreilles trop grandes ou décollées, il/elle n'ose jamais prendre la parole convaincu(e) que l'on fixe ses oreilles de Mickey.
L'anxieux(se) enfermé(e) dans son angoisse et son échec à cause de son défaut physique préférera le cacher, évitera de se déshabiller à force de focaliser sur le reflet de l'enveloppe corporelle. Combien stressent à mort à l'idée de devoir montrer leur corps, de se mettre en maillot de bain par peur d'être jugé(e)s préférant jusqu'à refuser un bon moment de détente ou de plaisir, pour éviter d'être confrontés à leurs propres angoisses.
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Le corps est un peu une "vitrine" : il nous protège tout en nous exposant aux regards des autres. L'idée qu'on se fait de son propre corps correspond rarement avec ce que les autres pensent et voient.
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"Si futile que cela puisse parfois paraître, des gens, absolument pas monstrueux, ont un rapport à leur image qui les parasite au point même de les empêcher de vivre une vie épanouie" explique Gérard Guillerault, psychanalyste et psychothérapeute.
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"Certaines personnes souffrent même si profondément dans leur corps qu'elles ne peuvent parfois même plus se regarder dans une glace. Si cette souffrance est tellement disproportionnée par rapport à la réalité, c'est sans doute bien que la problématique, même si elle vient se focaliser sur le reflet de l'enveloppe corporelle, se joue en fait à un tout autre niveau de reconnaissance, d'acceptation et de valorisation de soi."
Vers rubrique sur les complexes SUITE
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